J’ai ouvert cette année 2016 sur les chapeaux de roue avec une dizaine de lectures! Je le dois en partie à mon inscription dans la médiathèque de ma ville qui m’a permis de découvrir plusieurs bandes dessinées et un roman. Je suis impatiente d’y retourner afin de faire de nouveaux emprunts. Encore une fois, il y en a pour tous les goûts : de la jeunesse, de l’espionnage, du contemporain, du classique anglais.
Nombre de livres lus : 10
Nombre de pages lues : 2197
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A la croisée des mondes, Tome 1 : Les royaumes du Nord de Philip Pullman, éd. Folio Junior, 512 p.
C’est l’amour de Coquelicote pour cette série jeunesse qui m’a donné envie de la découvrir. Philip Pullman nous entraine dans un monde magique où de terribles dangers menacent l’humanité. Lyra et ses compagnons sont attachants. Avec son âme d’enfant, elle arrive à faire des choix et à se sortir de situations difficiles.
Violette Nozière : vilaine chérie de Camille Benyamina et Eddy Simon, éd. Casterman, 96 p.
J’ai découvert cette bande dessinée sur le forum Whoopsy Daisy. L’histoire de cette empoisonneuse fait froid dans le dos. L’inconscience et la légèreté de Violette sont à peine croyable. Les dessins sont superbes et l’ambiance du Paris de 1933 est très bien retranscrite.
Adam Clarks de Regis Hautière et Antonio Lapone, éd. Glénat, 64 p.
J’ai reçu cette bande dessinée dans le cadre du prix SNCF du polar par le biais de Babelio. Le cadre spatio-temporel m’a plu ainsi que le mélange maitrisé de modernité et de rétro. Cependant, l’intrigue s’essouffle trop vite à mon goût. C’est donc une découverte sympathique sans plus.
Les indociles de Murielle Magellan, éd. Julliard, 230 p.
Murielle Magellan signe ici un roman plein de sens. Elle traite de thèmes pas forcément très courants en littérature. J’ai parfois eu quelques difficultés à comprendre Olympe. Elle a des réactions assez troublantes que l’on finit par apprivoiser. L’auteur confirme donc son talent auprès de moi.
Tess d’Urberville de Thomas Hardy, éd. Le livre de poche, 474 p.
Après avoir adoré Loin de la foule déchainée, j’ai souhaité continuer à découvrir Thomas Hardy. Il s’agit d’un roman tragique, mélancolique et rude mais tellement beau. Tess est très attachante et les différents thèmes abordés intéressants. Il y a un vrai engagement féministe de la part de l’auteur.
Tu mourras moins bête, Tome 1 : La science, c’est pas du cinéma! de Marion Montaigne, éd. Ankama, 255 p.
J’ai enfin lu le premier titre de cette série à succès. Marion Montaigne prend certains passages de films et de séries et démonte scientifiquement tout ce qui est improbable. C’est un bon exemple de vulgarisation scientifique. On apprend tout en s’amusant. Le concept m’a paru s’essouffler un peu lors de la dernière partie.
Virginia Woolf de Michèle Gazier, éd. Naïve, 120 p.
Cette biographie dessinée propose une vue d’ensemble de la vue de Virginia Woolf. Elle permet d’apprendre à la connaitre ainsi que ses états d’âme facilement. Les dessins sont particuliers mais donnent une ambiance peu commune à l’ensemble. Une bonne première incursion dans la vie de cette femme de lettres anglaise.
Tolstoï, oncle Gricha et moi de Lena Gorelik, éd. Les escales, 342 p.
J’avais croisé ce roman à maintes reprises sur la blogosphère. C’est une histoire touchante qui traite de thèmes difficiles comme la fin de vie, la maladie d’un enfant ou encore la dureté du régime soviétique. L’auteur veut trop suggérer les choses quitte à rendre les révélations poussives. Heureusement toutes les pièces du puzzle viennent s’imbriquer à la fin.
Alienor Mandragore, Tome 1 : Merlin est mort vive Merlin! de Séverine Gauthier et Thomas Labourot, éd. Rue de Sèvres, 64 p.
Cette bande dessinée jeunesse est une belle surprise. Je n’y trouve aucun défaut. Elle ravira les plus jeunes comme les moins jeunes. Les rebondissements s’enchainent. Les dessins sont un régal à regarder tout comme les couleurs. J’espère que le second tome ne tardera pas à sortir.
Astrid Bromure, Tome 1 : Comment dézinguer la petite souris de Fabrice Parme, éd. Rue de Sèvres, 40 p.
Encore une découverte faite grâce à Whoopsy Daisy. Le moins que l’on puisse dire est qu’Astrid n’a pas sa langue dans sa poche. Elle nous entraine dans une chasse à la petite souris très rigolote. L’ambiance rétro est excellente. Le références littéraires sont également une belle surprise.
LECTURES EN COURS
LECTURES PRÉVUES EN FÉVRIER
Je vous souhaite un très beau mois de février ainsi que de belles lectures!
Fanny