Les mois défilent à une vitesse folle. Mai n’a pas dérogé à la règle grâce à tous les jours fériés dont nous avons bénéficié. Je n’ai pas vu le temps passé! Ils m’ont notamment permis de beaucoup lire. Deux évènements ont marqué ces quatre dernières semaines : la 6e session du weekend à 1000 organisé par Lili Bouquine qui m’a permis d’engloutir 4 livres et les Imaginales dont je vous parle en fin d’article. Je manque un peu de temps pour rédiger des billets mais peu à peu je rattrape mon retard. Pour l’heure je vous laisse avec toutes mes lectures de mai.
Nombre de livres lus : 11
Nombre de pages lues : 3056
(Pour lire les chroniques disponibles, il faut cliquer sur les images)

Traitors Gate de Anne Perry, éd. 10/18, 379 p.
Ce tome ne fait pas partie des meilleurs de la série des enquêtes de Thomas Pitt. Néanmoins Anne Perry nous offre ici une intrigue qui sort un peu de son schéma habituel. Thomas nous est montré sous un jour plus sensible. Malheureusement la fin ne m’a pas totalement convaincu.





L’homme à la lèvre tordue et L’escarboucle bleue (une nouvelle du recueil Les aventures de Sherlock Holmes) de Arthur Conan Doyle, éd. numérique, 74 p.
Ces nouvelles d’Arthur Conan Doyle continuent de me plaire et de me divertir. Je suis admirative de son talent à nous dérouler une intrigue puis une chute en si peu de pages. J’espère pouvoir continuer prochainement.






Anges d’apocalypse, Tome 3 : La discorde des aurores de Stéphane Soutoul, éd. Rebelle, 411 p.
J’étais impatiente de retrouver Syldia et de connaitre la suite de ses aventures. Autant vous dire que je n’ai pas été déçue. J’ai retrouvé tout ce que j’aime dans cette saga : de l’action, de l’humour, des répliques bien senties et une écriture franche et spontanée.


Mon amie Odalie de Suzanne Rindell, éd. Fleuve, 315 p.
Mon amie Odalie est un roman intriguant (voire fascinant) qui commence par un rythme assez lent et descriptif pour nous asséner un très bon final où toutes les pièces du puzzle se réunissent. L’anti-héroïne Rose ainsi que le contexte du New-York sous la prohibition m’ont plu. Un petit bémol pour l’écriture (ou peut-être la traduction) qui manque par moment de relief et de caractère pour nous emporter totalement.





Trois filles et leurs mères de Sophie Carquain, éd. Charleston, 294 p.
Les trois biographies romancées de Marguerite Duras, Simone de Beauvoir et Gabrielle Colette m’ont intéressé même si j’ai eu une nette préfère pour l’histoire de la seconde. Sophie Carquain nous démontre comment ces mères ont influencé d’une plus ou moins bonne manière la vie et le destin d’écrivain de leurs filles. Les faits purs m’ont intéressé ainsi que les quelques théories psychologiques.





Sans âmes de Gail Carriger et REM, éd. PiKa, 224 p.
Ce manga est l’adaptation du premier volet de la saga Le protectorat de l’ombrelle de Gail Carriger. Le pari est réussi grâce à des dessins en adéquation avec l’univers et les descriptions du livre. J’ai pris plaisir à revivre cette aventure en compagnie de cette panoplie de personnages hauts en couleur.





Le pensionnat de Mlle Géraldine, Tome 1 : Étiquette et espionnage de Gail Carriger, éd. Orbit, 354 p.
Dans l’ensemble j’ai apprécié ma lecture de ce premier tome de steampunk jeunesse. Le récit est rythmé, les personnages sont plutôt attachants, la plume est agréable. Par contre la fin est un peu rapide. J’aurais également adoré plus de précisions sur la vie et les enseignements de l’école.





Les cinq pépins d’orange (une nouvelle du recueil Les aventures de Sherlock Holmes) de Arthur Conan Doyle, éd. Nathan, 264 p.
Cette première enquête de la petite soeurs de Sherlock Holmes m’a agréablement surprise. Je ne m’attendais pas à apprécier autant. Certes l’intrigue est assez simple (en même temps c’est un roman jeunesse) mais je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. J’espère bientôt retrouver Enola.






Aristotle and Dante discover the secrets of the universe de Benjamin Alire Saenz, éd. Simon & Schuster Books, 360 p.
Il s’agit d’un roman atypique sur l’adolescence. Il fait partie de ces romans qui vous marquent et vous suivent longtemps après la lecture. Benjamin Alire Saenz fait ressentir à ses lecteurs toute la tendresse qu’il a pour ses personnages malgré leur mal-être et leurs nombreux questionnements sur la vie. Chronique à venir pour de plus amples précisions.


Pentecost Alley de Anne Perry, éd. 10/18, 381 p.
Un très très bon tome que celui-ci. Anne Perry retourne à ses premières amours en nous proposant une enquête qui rappelle les tous premiers tomes de la saga. Le retour d’Emily se fait en grand pompe. Vivement le 17e!





LECTURES EN COURS

LECTURES PRÉVUES EN JUIN

Je vous souhaite un très bon mois de juin ainsi qu’un bon mois anglais aux participants!
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Un petit mot sur les Imaginales, 13e édition
Comme vous pouvez vous en douter j’ai passé une superbe journée à Épinal (Vosges) le 24 mai 2014. A peine arrivée, j’ai pris contact avec la très gentille Coquelicote (et de son compagnon) du blog Sans grand intérêt avec qui je partage sur le net depuis quelque temps maintenant. Nous avons passé de beaux moments devant les auteurs ou pendant le repas de midi pris sur le pouce. Merci pour tout Coq’ ainsi que pour ton joli cadeau. J’espère que nous nous reverrons tout bientôt et que nous continuerons à nouer nos liens d’amitié car notre rencontre m’a marqué. Durant cette journée j’ai pu rencontrer tous les auteurs que je souhaitais voir : Sire Cédric, Silène Edgar, Samantha Bailly, Cindy Van Wilder, Magali Ségura, Stéphane Soutoul et Cécile Guillot. Ils ont tous été attentionnés, gentils et bavards malgré le monde sur certains stands. Vivement l’année prochaine!
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Fanny