Participation au challenge Cold Winter – 5e édition

Margaud et Moody reprennent le flambeau cette année pour l’organisation de la 5e édition du challenge Cold Winter. C’est la première fois que je vais participer. L’enthousiasme général autour de cet évènement m’a donné envie de me lancer!

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Photographie provenant du joli tumblr Paperback Castles

J’ai beaucoup réfléchi à la pile à lire que je vais devoir lire dévorer entre le 1er décembre 2016 et le 31 janvier 2017. J’ai aussi changé d’avis à maintes reprises… Je vois beaucoup de personnes qui ont choisi des romans autour de Noël et de l’hiver. Pour ma part, j’ai décidé de sortir des ouvrages qui dorment, pour la plupart, dans mes bibliothèques depuis trop longtemps. Voici sans plus attendre les livres que j’espère finir pendant cette période hivernale et festive!

img_20161130_120613Le menu « Montagne enneigée »

  1. La passe-miroir, tome 1 : Les fiancés de l’hiver de Christelle Dabos
  2. Mon dernier continent de Midge Raymond

Les autres romans

  1. Quatre soeurs de Malika Ferdjoukh
  2. Les heures lointaines de Kate Morton
  3. Chanson douce de Leïla Slimani
  4. La Vérité sur l’affaire Harry Quebert de Joël Dicker
  5. Le ver à soie de Robert Galbraith
  6. Vango, Tome 1 : Entre ciel et terre de Timothée de Fombelle
  7. À la Croisée des Mondes, tome 2 : La Tour des Anges de Philip Pullman
  8. Mapp & Lucia de E. F. Benson (n’apparait pas sur la photo car je vais bientôt le chercher en librairie)

Le top départ c’est demain. Je vais commencer par Les heures lointaines de Kate Morton. Quoi de mieux qu’un secret de famille dans une ambiance so british pour débuter?

Bon challenge à tous les participants!

Fanny

La voix des vagues de Jackie Copleton

9782365691659Résumé de l’éditeur : Lorsqu’un homme horriblement défiguré frappe à la porte d’Amaterasu Takahashi et qu’il prétend être son petit-fils disparu depuis des années, Amaterasu est bouleversée. Elle aimerait tellement le croire, mais comment savoir s’il dit la vérité ? Ce qu’elle sait c’est que sa fille et son petit-fils sont forcément morts le 9 août 1945, le jour où les Américains ont bombardé Nagasaki ; elle sait aussi qu’elle a fouillé sa ville en ruine à la recherche des siens pendant des semaines. Avec l’arrivée de cet homme, Amaterasu doit se replonger dans un passé douloureux dominé par le chagrin, la perte et le remord. Elle qui a quitté son pays natal, le Japon, pour les États-Unis se remémore ce qu’elle a voulu oublier : son pays, sa jeunesse et sa relation compliquée avec sa fille. L’apparition de l’étranger sort Amaterasu de sa mélancolie et ouvre une boîte de Pandore d’où s’échappent les souvenirs qu’elle a laissé derrière elle …

Un roman qui se déroule en partie pendant la Seconde Guerre mondiale? Il est surement fait pour moi. Je ne me suis pas trompée puisque j’ai, dans l’ensemble, beaucoup aimé ma lecture. Ce qui est d’ailleurs souvent le cas avec les éditions des Escales. Ce livre-ci est un peu différent de ce que j’ai pu lire jusque maintenant sur cette période troublée puisqu’il prend sa source lors du bombardement nucléaire de Nagasaki au Japon le 9 août 1945. Cet évènement est assez peu présent dans la littérature que je parcours. J’ai donc appris pas mal d’éléments que ce soit sur la tragédie en elle-même ou sur la société japonaise en général. De plus, en tête de chapitre l’auteure nous initie à des notions reliées à des coutumes ou des philosophies japonaises.

Par le biais d’Amaterasu, Jackie Copleton déroule son récit petit à petit. Elle ne nous donne pas tous les détails d’un coup mais préfère les distiller au fur et à mesure. Nous n’avons qu’un seul point de vue. Ceci enlève un peu de cohérence et d’exactitude à l’ensemble. Au final, on ne sait qui détient la vérité car il y a beaucoup d’interprétation. Le lecteur voyage entre présent et flashbacks. Ce schéma apporte du rythme et permet une lecture pleine de surprises et de rebondissements. Jackie Copleton possède une belle plume : fluide, précise et imagée. Les descriptions de la ville avant, pendant et après la catastrophe sont très bien écrites. On se promène dans ces ruelles pleines de vie puis jonchées de morts. Le contraste est saisissant et fait froid dans le dos.

C’est un roman fort de par l’histoire de la ville de Nagasaki mais aussi de par celle toute personnelle des personnages. La belle écriture de l’auteure est une vraie valeur ajoutée. Cependant, je dois bien avouer que j’ai été un peu frustrée de n’avoir qu’un seul point de vue.

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  • Black-out de John Lawton
  • La tombe d’Hanoï de Henry Ansroul
  • Lettres à Stella de Iona Grey

Fanny

Nos âmes la nuit de Kent Haruf / Rentrée littéraire 2016

9782221187845Résumé de l’éditeur : Dans la petite ville de Holt, Colorado, dans une Amérique profonde et isolée, Addie, une septuagénaire, veuve depuis des décennies, fait une étrange proposition à son voisin, Louis, également veuf : voudrait-il bien passer de temps à autre la nuit avec elle, simplement pour parler, pour se tenir compagnie ? La solitude est parfois si dure… Bravant les cancans, Louis se rend donc régulièrement chez Addie. Ainsi commence une très belle histoire d’amour, lente et paisible, faite de confidences chuchotées dans la nuit, de mots de réconfort et d’encouragement. Une nouvelle jeunesse apaisée, toute teintée du bonheur de vieillir ensemble. Mais voilà, les choses ne vont pas se passer si simplement, les cancans vont bon train, et les familles s’en mêlent… Que va-t-il advenir de cette bulle de douceur si précieuse qu’Addie et Louis avaient réussi à construire ?

Ce court roman est assez étonnant. En effet, Kent Haruf nous propose une histoire sans prétention et épurée de toute fioriture. Il fait le choix d’aller à l’essentiel en un peu moins de 200 pages. On y trouve beaucoup de dialogues. Et les chapitres sont très courts. C’est donc une lecture rythmée et rapide qui s’effectue. Malgré cela, l’auteur arrive à transmettre des messages forts et à apporter du charisme à ses modestes héros. C’est l’hiver de la vie qui nous est conté ici. C’est le moment de faire le point et de tirer le bilan de ce qu’on a réalisé mais aussi de tout ce qu’on a perdu. Ce sont les sentiments, le partage, la solitude, la mort et les difficultés d’une existence bien remplie que l’auteur nous donne à voir.

L’intérêt de cette histoire réside clairement dans ses personnages hautement attachants. On aimerait rencontrer ces deux seniors et discuter avec eux. Ils ont beaucoup à nous apprendre et à partager. C’est aussi l’occasion de leur donner la parole face parfois à une jeunesse qui croit tout savoir, tout maîtriser et tout contrôler. On assiste également et avec émotion à l’émergence d’un lien d’attachement entre les deux protagonistes envers et contre tout mais surtout contre le qu’en-dira-t-on. Même si cela arrive tardivement et malgré quelques craintes, ils décident de vivre leur vie comme ils l’entendent. Ce roman est-il le témoin des propres peurs de Kent Haruf? Nous ne le sauront jamais car il a disparu juste avant la sortie de ce roman.

Je me range bien volontiers derrière l’avis positif général. Ce roman vous touche alors que vous ne vous y attendez pas forcément. Derrière une certaine simplicité, les mots font sens et marquent notre esprit de lecteur. Pour ne rien gâcher, l’ensemble est raconté avec beaucoup d’élégance et de pudeur. Addie et Louis resteront dans ma mémoire, c’est certain.

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  • Chronique d’hiver de Paul Auster
  • Etta et Otto (et Russell et James) de Emma Hooper
  • La lettre à Helga de Bergsveinn Birgisson

Fanny

Miss Dashwood, nurse certifiée, Tome 1 : De si charmants bambins de Gwenaële Barussaud

71veps3gvnlRésumé de l’éditeur : Au fond de leur château normand, monsieur et madame de Grandville sont désespérés : leurs charmants bambins, Godefroy et Charlotte, multiplient les bêtises et font fuir les gouvernantes. Heureusement, la célèbre école de nurses anglaises, la prestigieuse Perfect Children Academy, a promis de leur envoyer une demoiselle à la hauteur de la situation, et c’est l’excellente Daisy Dashwood qui a été choisie pour cette périlleuse mission. Avec ses connaissances toute fraîches en matière d’éducation, ses diplômes flambants neufs et son réputé flegme britannique, Daisy Dashwood semble effectivement dotée des qualités requises pour corriger les insupportables descendants de la famille Grandville ! Mais il ne faut jamais sous-estimer l’incroyable résistance des enfants français, ni leur extrême inventivité…. Caprices en pleine rue, batailles de mottes de terre, odeurs de camembert, pianiste myope et dressage de marcassin réussiront-ils à déstabiliser la célèbre nurse anglaise ?

Gwenaële Barussaud est une auteure qui m’a été maintes fois conseillé, notamment sur le forum Whoopsy Daisy. Ce roman-ci est le premier tome d’une nouvelle saga jeunesse qui nous propose de suivre les pérégrinations d’une toute jeune nurse anglaise. En plein XIXe siècle, Daisy va traverser la Manche pour se rendre dans une famille Normande dont les enfants semblent pour le moins turbulents et terribles. L’écrivain use du comique de situation et du quiproquo. J’ai souvent souri pendant ma lecture car Miss Dashwood en voit de toutes les couleurs! Ce premier opus reste tout de même très jeunesse et s’adresse donc à un public entre 9 et 12 ans. Une certaine morale ou tout du moins un message fort se dégagent de l’ensemble. Cependant, en tant qu’adulte, j’ai trouvé cela amusant, drôle, vif et rafraîchissant.

Après avoir terminé son apprentissage théorique dans une école, Daisy Dashwood découvre donc son métier sous un nouveau jour et sur le terrain. Elle se rend vite compte que les choses se déroulent rarement comme prévu et que sa précieuse bible recensant plusieurs situations fâcheuses et leurs solutions ne lui apporte pas toutes les réponses nécessaires. C’est un personnage fort car elle doit s’adapter et faire preuve d’imagination. On suit également l’évolution des deux bambins dont elle a la charge. Je suis très attachée à la Normandie car il s’agit de ma région natale. Lire un roman se déroulant là-bas m’a apporté beaucoup de joie. Et d’autant plus que j’ai retrouvé à plusieurs reprises l’expression consacrée « Heulà » que j’utilise au quotidien et à tout bout de champ!

Ce premier tome est une bonne surprise. Je ne lis que très peu de roman jeunesse mais celui-ci a su m’interpeller et me faire passer un bon moment de lecture-détente. C’est frais, vif, drôle et bien mené. Gwenaële Barussaud m’a donné envie d’aller plus loin et de découvrir sa précédente série Les lumières de Paris.

 Lu grâce à la masse critique Babelio et aux éditions Fleurus.

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Vous aimerez aussi découvrir :

  • Belle Époque de Elizabeth Ross
  • L’extraordinaire voyage de Sabrina de P. L. Travers
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Fanny

Bilan de mes lectures : OCTOBRE 2016 ~ Lectures à venir : NOVEMBRE 2016

La santé n’est pas au beau fixe, les jours raccourcissent et la météo se dégrade. Quoi de mieux que la lecture pour apporter réconfort et détente?! En octobre, j’ai voyagé dans un sanatorium français des années 50, j’ai intégré une secte qui a sonné la fin de l’ère hippie, j’ai accompagné les Mohawks dans leur histoire extraordinaire entre le XIXe et le XXIe siècle, je suis allée à La Havane en compagnie d’un chanteur, j’ai voyagé dans l’univers, j’ai retrouvé l’univers fantaisiste et magique de Malika Ferdjoukh et j’ai suivi les premiers pas d’une nurse anglaise dans une famille normande. J’ai donc encore beaucoup voyagé dans le temps et l’espace.

Nombre de livres lus : 7

Nombre de pages lues : 2189


(Pour lire les chroniques disponibles, cliquez sur les couvertures)

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Un paquebot dans les arbres de Valentine Goby, éd. Actes Sud, 268 p.

C’est un très beau roman que j’ai eu entre les mains. Je n’oublierais jamais Mathilde, sa famille et le sanatorium d’Aincourt. La plume de l’auteur est précise, sensible et bienveillante. Elle redonne une place et une mémoire à toutes les personnes ayant vécues le drame de la tuberculose et bien souvent oubliées.

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The Girls de Emma Cline, éd. La table ronde, 336 p.

The girls n’est clairement pas facile à lire. Ce livre choque, bouscule et met son lecteur dans une posture inconfortable de spectateur d’une descente aux enfers. Il s’agit d’une fiction qui frise aussi parfois avec le reportage. Ce premier roman au sujet ambitieux est une réussite. Emma Cline est sans aucun doute une auteure à suivre.

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Ciel d’acier de Michel Moutot, éd. Points, 440 p.

Ce roman se positionne comme un véritable coup de cœur. J’ai tout aimé de la première page jusqu’à la dernière. La belle écriture et l’expérience de Michel Moutot en tant que correspondant durant les attentats du 11 septembre 2001 rehaussent le sujet et lui apporte un réalisme et une profondeur. J’ai appris beaucoup aussi bien sur les Mohawks ironworkers que sur les techniques de construction.

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Dieu n’habite pas La Havane de Yasmina Khadra, éd. Julliard, 312 p.

Ce livre se classe malheureusement parmi les ouvrages que je lis jusqu’au bout mais qui, finalement, ne me laisse pas un sentiment impérissable. Le récit met du temps à démarrer. Un  déséquilibre est présent entre la première partie et la seconde. Le héros est plutôt charismatique et l’ambiance du Cuba contemporain bien présente.

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L’espace sans gravité de Florence Porcel, éd. Marabout, 192 p.

J’ai dévoré ce livre en quelques jours heures. L’auteure nous propose 31 anecdotes drôles, tristes et parfois affligeantes qui ont fait l’histoire de l’exploration spatiale. J’ai découvert et redécouvert beaucoup de faits. Le ton et le parti pris de l’humour et de la détente sont parfaits pour les débutants ou les petits curieux comme moi. La dernière page est arrivée beaucoup trop vite à mon goût. J’en redemande!

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Chaque soir à 11 heures de Malika Ferdjoukh, éd. Flammarion jeunesse, 401 p.

Malika Ferdjoukh a su, une nouvelle fois, me prendre par la main et m’emmener dans son univers si particulier et si vivifiant. La magie opère et chaque page est un régal. Ce roman contient un mélange de contemporain et de gothique avec, en prime, beaucoup de fantaisie. L’auteure nous propose une intrigue faite de suspens et de secrets.

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Miss Dashwood, nurse certifiée, Tome 1 : De si charmants bambins de Gwenaële Barussaud, éd. Fleurus, 240 p.

Ce roman jeunesse m’a beaucoup plu. C’est rythmé, drôle et bien ficelé. Gwenaële Barussaud utilise le comique de situation, un sacré cocktail qui donne le sourire. L’histoire se déroule en Normandie (ma région natale) et j’ai retrouvé l’expression consacrée « Heulà » que j’utilise à tout bout de champ. J’ai donc d’autant plus rigolé!

LECTURES EN COURS

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LECTURES PRÉVUES EN NOVEMBRE

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Je vous souhaite un très beau mois dE NOVEMBRE, PROPICE AU COCOONING!

Fanny

Chaque soir à 11 heures de Malika Ferdjoukh

71q3l-csz9lRésumé de l’éditeur : Willa Ayre s’est classée dans la catégorie des filles que les garçons ne voient jamais, des insignifiantes, des petits chats caustiques mais frileux. Iago, lui, attire tous les regards. Il est le garçon dont rêvent toutes les filles du lycée. Dès la rentrée, Iago pose les yeux sur Willa et la choisit. Mais à une fête, Willa rencontre le bizarre et ténébreux Edern. Dès lors, sa vie prend une tournure étrange. De la grande maison obscure cachée au fond de l’impasse, la jeune fille doit découvrir les secrets, sonder son coeur, et faire un choix…

Après avoir adoré Broadway Limited, je suis heureuse d’avoir pu découvrir une nouvelle histoire de Malika Ferdjoukh. Cette dernière joue ici avec un mélange de contemporain et de gothique. En effet, beaucoup de mystère et d’ombres planent au dessus de ce livre. La demeure de Fausse-Malice n’est pas en reste et nous attire irrémédiablement. Ce roman recèle son lot de fantaisie comme sait si bien le faire l’auteure que ce soit dans les noms des personnages (et des animaux de compagnie), les descriptions ou encore le langage utilisé. Cet ouvrage est un vrai vent d’air frais! Ce style si particulier à Malika Ferdjoukh est un régal et change de mes lectures habituelles. Pour couronner le tout, elle nous propose une intrigue faite de suspens et de secrets. Même si j’ai deviné quelques petites choses, j’ai pris beaucoup de plaisir à suivre Willa dans ses interrogations. Le récit est rythmé du début à la fin. Je n’ai pas ressenti une seule seconde d’ennui.

J’ai beaucoup aimé l’héroïne que Malika Ferdjoukh nous propose de suivre. Willa a son caractère. Elle est scolarisée dans un lycée privé fréquenté par des jeunes gens financièrement aisés. Elle n’essaye pas d’être comme eux à tout prix et n’oublie pas son extraction modeste. Elle préfère utiliser son intelligence, sa vivacité d’esprit et son humour pour s’intégrer. L’auteur nous fait également rencontrer une ribambelle de personnages secondaires charismatiques qui ne peuvent laisser le lecteur de marbre. Toutefois, les copains de lycée de Willa ne sont pas forcément ceux auxquels on s’attache le plus. J’ai ressenti une nette préférence pour la famille Fils-Alberne, bien plus intéressante et énigmatique. L’auteure insère de multiples références culturelles à Jane Austen ou encore Jane Eyre (l’héroïne s’appelle Willa Ayre). La musique est un élément phare des romans de l’écrivain. Ce roman comporte donc une véritable playlist jazzy. Nous sommes bercés par des notes de musique qui apportent une ambiance singulière.

Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu un roman adolescent car ce n’est pas forcément mon genre de prédilection. Malika Ferdjoukh a su, une nouvelle fois, me prendre par la main et m’emmener dans son univers si particulier et si vivifiant. La magie opère et chaque page est un régal. Quatre sœurs est dans ma pile à lire. Je pense qu’il ne va pas faire long feu.

Merci à Malika de m’avoir fait parvenir son livre.

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Fanny