Résumé de l’éditeur : Un jour qu’elle se réveille de sa sieste, s’attendant à trouver son époux gentiment endormi à ses côtés comme tout loup-garou qui se respecte, elle le découvre hurlant à s’en faire exploser les poumons. Puis il disparaît sans explication… laissant Alexia seule aux prises avec un régiment de soldats non humains, une pléthore de fantômes exorcisés, et une reine Victoria qui n’est point amusée du tout. Mais Alexia est toujours armée de sa fidèle ombrelle et des dernières tendances de la mode, sans oublier un arsenal de civilités cinglantes. Et même quand ses investigations pour retrouver son incontrôlable mari la conduisent en Écosse, le repère des gilets les plus laids du monde, elle est prête !
Il y a plus d’un an, j’ai découvert Gail Carriger et Alexia Tarabotti, son héroïne au caractère bien trempé. Depuis je n’ai eu qu’une envie : lire la suite. Mais comme souvent, les lectures, les envies et les obligations se succèdent. Ce n’est donc que maintenant que j’ai pu la découvrir et me replonger dans cet univers. Je ne sais pas si l’attente à décupler mon bonheur de lecture mais toujours est-il que j’ai encore une fois été sous le charme.
Ce roman est rythmé. En effet, l’action est omniprésente tout comme l’humour propre à l’auteure. C’est frais, léger et agréable à lire. J’ai particulièrement aimé le voyage de Londres vers l’Écosse en dirigeable. Autant vous dire qu’Alexia et son entourage ne savent pas qu’il va leur arriver beaucoup d’aventures et d’évènements inattendus. Ils ne sont jamais au bout de leur surprise ! Les personnages sont d’ailleurs pétillants, explosifs et drôles bien souvent à leur insu.
J’aime le mélange réussi entre le XIXe siècle et les éléments fantastiques et steampunck insérés un peu partout. Nous rencontrons donc régulièrement des créatures telles que des loups garous et des vampires. J’apprécie également les machines extravagantes qu’utilisent les personnages. Gail Carriger fait preuve d’une vraie imagination et d’une belle créativité autant sur le contexte que sur l’intrigue. La fin laisse présager une suite qui, je l’espère, saura garder le rythme.
Il s’agit d’un second tome à la hauteur du précédent. Je me suis régalée de bout en bout. A mon avis, Le protectorat de l’ombrelle est une bonne saga pour se vider la tête et s’amuser.
Lu dans le cadre d’une lecture commune avec Élodie.
Lu dans le cadre du challenge XIXe siècle et du défi « Baisser votre PAL Imaginales« .
Fanny