Résumé de l’éditeur : Dans la touffeur de l’été 1896, les agents de la Special Branch, Thomas Pitt en tête, sont au comble de l’effroi. Mrs. Quixwood, épouse d’un riche banquier, vient de succomber à un viol, et la mise en scène trop bien orchestrée du suicide laisse peu de place au doute. Secondé par sa femme, Pitt ouvre immédiatement l’enquête. Mais c’est sans compter sur les secrets que la victime a emportés avec elle et qui s’acharnent à brouiller les pistes… En pleine guerre des Boers, l’horreur s’invite au sein d’une bourgeoisie ruinée par les conflits d’Afrique du Sud.
Et une enquête de plus des Pitt à mon compteur ! Le chiffre s’élève désormais à 28 tomes lus. Dans ce nouvel opus, Anne Perry revient à ses premières amours. En effet l’enquête tourne autour de divers viols et d’un meurtre. Même si la Special Branch ne semble pas concernée de prime abord, Thomas Pitt se doit d’intervenir. C’est un travail de fourmis qui s’enclenche avec une recherche de preuves, des interrogatoires ainsi que des intimidations afin de faire plier les suspects et ainsi les faire avouer. Il s’agit donc d’une intrigue lente. Quelques raccourcissements auraient pu être opérés afin d’alléger l’ensemble.
Narraway est toujours présent. Il met entre parenthèse sa fonction de parlementaire pour se consacrer à enquêter. Gracie n’est pas présente une seule seconde. Je dois dire qu’elle me manque beaucoup. J’aimerais que les Pitt gardent contact avec elle et la fasse intervenir volontairement ou non dans leurs enquêtes. Vespasia a une place importante. Elle aide Narraway dans sa tâche. Ce dernier ne reste pas insensible à son charme. Affaire à suivre ! La tenue d’un procès est un point intéressant. De même que les discussion avec les enfants à propos de sujets difficiles.
L’intrigue de ce tome m’a beaucoup plu. Malheureusement quelques longueurs viennent alourdirent l’ensemble. Narraway et Vespasia sont mis en avant. Anne Perry nous expose des thèmes intéressants.
Lu dans le cadre d’une lecture commune avec Bianca, Belette et Céline.
Lu dans le cadre du challenge XIXe siècle, du challenge Quelques heures avec Anne Perry, et du challenge British Mysteries.
Fanny
Oui, quelques longueurs !!
Ce n’est pas digne d’Anne Perry!
Elle rêvassait… et boum, 30 pages en trop !
Comme toi j’ai aimé et déploré les longueurs, à ce niveau là c’est du remplissage !
C’est le mot!
Effectivement, un peu long mais contente de trouver une vraie enquête !
Toutafé Céline!
28 tomes ! Ca en fait, des heures de lecture ! J’ai le… second tome dans ma pal à lire, je suis moins avancée que toi ! 🙂
Il faut dire qu’être accompagné de copines motive!